Si jamais le groupe parlementaire majoritaire du RPG ou un ministre de l’Exécutif, comme El Hajj Mohammed Lamine Fofana, actuel Gardes sceaux par intérim, déposait une proposition ou un projet de loi en vue de faire voter une loi référendaire pour une quatrième réplique en Guinée, je propose à Alioune Nfan Touré, Maliui Soumah, James Soumah, Tierno Monenembo, Cheick Oumar Kanté, Adjidja Baud Barry, Fatoumata Kaa, Kaba Bachir, Nadia Jeanne Diallo, Mamadou Billo SY Savané, Gandhi Haroun Barry, Amadou Sadio Bah, (Rouen), Ibrahima Sorel Keïta, Naby Ibrahima « Baby » Soumah, Dr Baldé Abdoul (Rouen), Edouar Kolier, Alimou Barry, Barros, Fatoumata, Ousmane Bangoura, Mohamed Momo Sylla, Aminata Lamah, Mamadou Saliou Bah, Nfamara, Amara-Lamine Bangoura (UK), Couleur Tropicale, Shams Deen, « L’Africain », etc., j’en oublie, j’en oublie, et à tous les démocrates africains et du monde, le lancement d’une pétition anti-prolongations de mandats présidentiels en Guinée et en Afrique. Objectif : 1 million de signataires.
Ps : il va de soi que le chapeau de cette pétition reste à faire et que sa mise en ligne et sa diffusion sur tous supports en Afrique et partout dans les grands médias, seront réalisés et financés par les initiateurs de cette pétition. Je me propose de donner 100 euros pour commencer.
Je salue le fond de cette idée de pétition qui me semble tout à fait salutaire et bien venue en ce mois d’août 2019…
Mais en attendant de voir la mouture finale que les principaux patriotes cités lui trouveront comme forme, je proposerai humblement de ne surtout pas « élargir le champ » à AC qui va chercher de plus en plus à se parer d’un panafricanisme de circonstance. La lutte contre les prolongations anticonstitutionnelles de mandats est pour ainsi dire déjà bien lancée dans l’espace CEDEAO. Le président Mouhammadou Issoufou qui le préside fort heureusement, s’est clairement engagé à faire de l’alternance politique la première priorité de son année de mandat. Autant dire qu’il me semble plus efficace de circonscrire le champ de la pétition, au plus, à cet espace des 15 pays où les modèles politiques à la guinéenne sont plutôt en perte de vitesse.
Car tant que des chefs d’Etat tels que Idriss Débi, Paul Biya, Yoweri Museveni, Denis Sassou-NGesso et autres lui serviront de fallacieuses références, je crois que c’est à lui-même et à ce qui se passe autour de lui dans l’espace CEDEAO, qu’il faudra savoir judicieusement renvoyer notre « Professeur-président » et son clan de pilleurs mafieux (…)
Et ainsi présentée, la pétition me semble en effet plus susceptible de retenir l’attention des démocrates africains, toutes régions du continent confondues: qu’ils soient des pays d’avant-garde ou de ceux où tout reste désespérément à faire encore, en termes de progrès démocratiques, socio-économiques et culturels.
Je salue le fond de cette idée de pétition qui me semble tout à fait salutaire et bien venue en ce mois d’août 2019…
Mais en attendant de voir la mouture finale que les principaux patriotes cités lui trouveront comme forme, je proposerai humblement de ne surtout pas « élargir le champ » à AC qui va chercher de plus en plus à se parer d’un panafricanisme de circonstance. La lutte contre les prolongations anticonstitutionnelles de mandats est pour ainsi dire déjà bien lancée dans l’espace CEDEAO. Le président Mouhammadou Issoufou qui le préside fort heureusement, s’est clairement engagé à faire de l’alternance politique la première priorité de son année de mandat. Autant dire qu’il me semble plus efficace de circonscrire le champ de la pétition, au plus, à cet espace des 15 pays où les modèles politiques à la guinéenne sont plutôt en perte de vitesse.
Car tant que des chefs d’Etat tels que Idriss Débi, Paul Biya, Yoweri Museveni, Denis Sassou-NGesso et autres lui serviront de fallacieuses références, je crois que c’est à lui-même et à ce qui se passe autour de lui dans l’espace CEDEAO, qu’il faudra savoir judicieusement renvoyer notre « Professeur-président » et son clan de pilleurs mafieux (…)
Et ainsi présentée, la pétition me semble en effet plus susceptible de retenir l’attention des démocrates africains, toutes régions du continent confondues: qu’ils soient des pays d’avant-garde ou de ceux où tout reste désespérément à faire encore, en termes de progrès démocratiques, socio-économiques et culturels.
Je salue le fond de cette idée de pétition qui me semble tout à fait salutaire et bien venue en ce mois d’août 2019…
Mais en attendant de voir la mouture finale que les principaux patriotes cités lui trouveront comme forme, je proposerai humblement de ne surtout pas « élargir le champ » à AC qui va chercher de plus en plus à se parer d’un panafricanisme de circonstance. La lutte contre les prolongations anticonstitutionnelles de mandats est pour ainsi dire déjà bien lancée dans l’espace CEDEAO. Le président Mouhammadou Issoufou qui le préside fort heureusement, s’est clairement engagé à faire de l’alternance politique la première priorité de son année de mandat. Autant dire qu’il me semble plus efficace de circonscrire le champ de la pétition, au plus, à cet espace des 15 pays où les modèles politiques à la guinéenne sont plutôt en perte de vitesse.
Car tant que des chefs d’Etat tels que Idriss Débi, Paul Biya, Yoweri Museveni, Denis Sassou-NGesso et autres lui serviront de fallacieuses références, je crois que c’est à lui-même et à ce qui se passe autour de lui dans l’espace CEDEAO, qu’il faudra savoir judicieusement renvoyer notre « Professeur-président » et son clan de pilleurs mafieux (…)
Et ainsi présentée, la pétition me semble en effet plus susceptible de retenir l’attention des démocrates africains, toutes régions du continent confondues: qu’ils soient des pays d’avant-garde ou de ceux où tout reste désespérément à faire encore, en termes de progrès démocratiques, socio-économiques et culturels.
Merci à vous, cher Doyen Bokoum !
Je salue le fond de cette idée de pétition qui me semble tout à fait salutaire et bien venue en ce mois d’août 2019…
Mais en attendant de voir la mouture finale que les principaux patriotes cités lui trouveront comme forme, je proposerai humblement de ne surtout pas « élargir le champ » à AC qui va chercher de plus en plus à se parer d’un panafricanisme de circonstance. La lutte contre les prolongations anticonstitutionnelles de mandats est pour ainsi dire déjà bien lancée dans l’espace CEDEAO. Le président Mouhammadou Issoufou qui le préside fort heureusement, s’est clairement engagé à faire de l’alternance politique la première priorité de son année de mandat. Autant dire qu’il me semble plus efficace de circonscrire le champ de la pétition, au plus, à cet espace des 15 pays où les modèles politiques à la guinéenne sont plutôt en perte de vitesse.
Car tant que des chefs d’Etat tels que Idriss Débi, Paul Biya, Yoweri Museveni, Denis Sassou-NGesso et autres lui serviront de fallacieuses références, je crois que c’est à lui-même et à ce qui se passe autour de lui dans l’espace CEDEAO, qu’il faudra savoir judicieusement renvoyer notre « Professeur-président » et son clan de pilleurs mafieux (…)
Et ainsi présentée, la pétition me semble en effet plus susceptible de retenir l’attention des démocrates africains, toutes régions du continent confondues: qu’ils soient des pays d’avant-garde ou de ceux où tout reste désespérément à faire encore, en termes de progrès démocratiques, socio-économiques et culturels.
Merci à vous, cher Doyen Bokoum !