La révélation faite par le président de l’UFR monsieur Sidya Touré sur la préparation de fraude électorale à l’échelle industrielle en cours à la villa N°33 n’a pas fini de livrer tous ses secrets. C’est une fraude à ramification multiple basée sur plusieurs partis politiques alliés du RPG. Il s’agit non seulement de partis politiques réels, mais aussi de partis politiques sans existence réelle qui ne serviront que de couverture pour la fraude programmée. Sachant que les Guinéens n’accepteront pas qu’il s’attribue la majorité absolue des futurs sièges de députés à l’assemblée nationale, le président Alpha Condé mise désormais sur ses alliés pour atteindre son objectif. C’est dans ce cadre qu’il aurait instruit le président de la CENI Maitre Kébé et son homme des opérations sournoises monsieur Aly Badara Kakoro, de repartir les futurs sièges de députés de sorte qu’avec ses alliés, il puisse avoir la majorité absolue. Les heureux et malheureux futurs bénéficiaires des sièges de députés qui seront gracieusement attribués, non pas par le peule, mais par le président de la République, sont les suivants :
L’UFDG 18 députés
L’UFR 2 députés
Alhousseine Makanera 5 députés
Mouctar Diallo NFD 8 députés
Aboubacar Sylla ministre des transports 8 députés
BAH Ousmane UPR 8 députés
Selon la même source, la répartition des sièges de députés n’est pas encore terminée. Monsieur BAH Oury, ex-vice président de l’UFDG ferait partie de la stratégie d’Alpha Condé et son cas ferait l’objet de discussion actuellement. Selon nos informations, c’est cette promesse de députés gracieusement attribués par le président Alpha Condé qui aurait conduit monsieur BAH Oury à prendre la tête d’un petit parti politique récemment. Il est à souligner que cette information sur monsieur BAH Oury ne peut laisser indifférent vu sa prise de position qui va toujours dans le sens de la volonté d’Alpha Condé alors qu’il était connu pour être plus radicale que le président de l’UFDG face ce qu’il qualifiait lui-même de dictature d’Alpha Condé.
Affaire à suivre……
La rédaction du guepard.net