Arrivés à la Mairie de Deuil-la-Barre pour saboter la manifestation du Collectif Contre l’impunité en Guinée, Moussa Tatakourou Diawara, le fils de Baidy Aribot et certaines personnes connues pour leurs consommations excessives de drogues, payées par Baidy Aribot ont été encerclés par la police et dispersés. Conduit par Tatakourou, ce groupe est allé trouver des sympathisants du Collectif à la gare, parmi lesquels un jeune a été agressé et poussé sur la voie ferrée à l’arrivée d’un train. Heureusement, le train s’est immobilisé. La police a été alertée et elle est allée chercher la victime et les témoins qui ont été conduits au commissariat d’Enghien les Bains. L’information vient de nous parvenir selon laquelle une plainte à été portée pour tentative d’homicide en bande organisée.
Le Collectif contre l’impunité en Guinée, en sa qualité d’organisateur de cette manifestation se portera partie civile.
Nous vous informerons de l’évolution de la situation.
MAKANERA Ibrahima Sory
Président du Collectif contre l’impunité en Guinée.
Si comme je le pense, Monsieur Moussa DIAWARA dit Tatakourouest titulaire d’une carte de Réfugié politique, alors il est INDISPENSABLE de s’interroger sur les Déclarations et informations qu’il a fournies à l’OFPRA (Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides) pour se faire octroyer, de façon très discutable ce statut. A-t-il bénéficié d’appui ? De qui ?
Par ailleurs, à DEUIL-la-Bare (95), l’Adjoint du Maire, chargé de la Sécurité m’a paru être d’une BIENVEILLANCE très particulière avec Monsieur Moussa DIAWARA dit Tatakourou, et seulement avec lui. En tout cas, on peut se demander ce qui fonde cette CONNIVENCE entre l’Adjoint au maire chargé de la sécurité et Monsieur tatakourou. Les collègues élus de cet Adjoint de DEUIL-la-Bare seraient bien avisés de s’intéresser aux liens entre la famille Baïdy ARIBOT, Moussa DIAWARA dit Tatakourou, et leur collègue. Puisqu’il préfère piétiner les Lois de la République, pour « couvrir » les faits et gestes qu’un ÉLU de la République française n’a pas à protéger.
Comptant peut-être sur l’appui de l’Adjoint au Maire de DEUIL-la-Bare, chargé de la Sécurité, le fils de Bïdy ARIBOT et Moussa Tatakourou ont manifestement voulu TUÉ un PATRIOTES Guinéens à la gare de DEUIL-la-Bare, puisqu’ils l’ont violemment poussé sous un train qui heureusement n’avait pas pris sa vitesse de croisière. La police française, authentiquement républicaine a aussitôt mis la main sur eux. La tentative d’homicide en bande organisée est juridiquement constituée. A l’heure où j'(écris ces lignes, le fils ARIBOT est vraisemblablement en détention, et il n’est pas seul.
Si comme je le pense, Monsieur Moussa DIAWARA dit Tatakourouest titulaire d’une carte de Réfugié politique, alors il est INDISPENSABLE de s’interroger sur les Déclarations et informations qu’il a fournies à l’OFPRA (Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides) pour se faire octroyer, de façon très discutable ce statut. A-t-il bénéficié d’appui ? De qui ?
Par ailleurs, à DEUIL-la-Bare (95), l’Adjoint du Maire, chargé de la Sécurité m’a paru être d’une BIENVEILLANCE très particulière avec Monsieur Moussa DIAWARA dit Tatakourou, et seulement avec lui. En tout cas, on peut se demander ce qui fonde cette CONNIVENCE entre l’Adjoint au maire chargé de la sécurité et Monsieur tatakourou. Les collègues élus de cet Adjoint de DEUIL-la-Bare seraient bien avisés de s’intéresser aux liens entre la famille Baïdy ARIBOT, Moussa DIAWARA dit Tatakourou, et leur collègue. Puisqu’il préfère piétiner les Lois de la République, pour « couvrir » les faits et gestes qu’un ÉLU de la République française n’a pas à protéger.
Comptant peut-être sur l’appui de l’Adjoint au Maire de DEUIL-la-Bare, chargé de la Sécurité, le fils de Bïdy ARIBOT et Moussa Tatakourou ont manifestement voulu TUÉ un PATRIOTES Guinéens à la gare de DEUIL-la-Bare, puisqu’ils l’ont violemment poussé sous un train qui heureusement n’avait pas pris sa vitesse de croisière. La police française, authentiquement républicaine a aussitôt mis la main sur eux. La tentative d’homicide en bande organisée est juridiquement constituée. A l’heure où j'(écris ces lignes, le fils ARIBOT est vraisemblablement en détention, et il n’est pas seul.