Jeune »afrique » n’est pas un journal, mais un attrape-sous de forme commerciale. Si on met de côté l’inénarrable François SOUDAN, soudain improvisé journaliste, « spécialiste » de l’Afrique (entendez noire) et la famille Ben Béchir (enfant, épouse et le patriarche lui-même), personne ne sait sous quel statut juridique sévit ce papier. EURL?, SNC ?, SARL ? S.A ? Mystère, un épais mystère.
Les journaux, même les plus prestigieux (Le monde, le FIGARO, l’Express….) rendent publiques tous les ans, leur compte d’exploitation et leur bilan. Leurs Actionnaires, ou Associés sont connus de tous. Et « Jeune Afrique » ? Re-mystère total.
Plus que d’opacité, c’est d’obscurité qu’il faut parler à son sujet.
Peut-on parler de son statut fiscal ? Là encore mystère. Il y a quelques années, dans une livre-enquête brillant, un journaliste de l’Express, Vincent HUGEUX, très talentueux, dont la probité journalistique est insoupçonnée, s’était inquiété sur la base de données indiscutables que ce Journal (Jeune Afrique) navigue dans un espace interlope, où le vrai journalisme est absent, mais le racket de quelques tyranneaux subsahariens est omniprésent. Des poursuites pour FRAUDE fiscale mystérieusement disparue. Droit du travail ?—inconnu, Leurs employés, tous NOIRS subsahariens, sont corvéables sans limite, même dans un État de Droit comme la FRANCE.
Alors au moins, le journal est-il bien nommé ? Je rappelle à d’éventuels lecteurs que ce journal ajoute à son appellation professionnelle, le terme « Afrique ». Et c’est là où il y a une immense imposture, une tromperie sur la marchandise. Le FRIC de certains tyranneaux sanguinaires africains (subsahariens), alimentant abondamment les caisses de la famille Ben Béchir et François SOUDAN, c’est une évidence. Le journal est-il pour autant Jeune (Afrique)?–NON et non. Car ce journal vit et a toujours vécu avec l’argent des autocrates sanguinaires subsahariens, sur le dos des populations miséreuses subsahariennes.
Les économistes ont souvent fait état de ce qu’ils appellent une « rente de couleur » en Afrique noire. François SOUDAN est exactement l’illustration de cette RENTE de couleur, ici la BLANCHITUDE en Afrique Noire. Monsieur SOUDAN est un « bon blanc ». Il est si bon avec les Noirs qu’il en a épousé une, temporairement. Ce qui lui permet d’entrer en contact avec ceux qui deviendront le tiroir-caisse de son « Journal », plus exactement de leur journal. Bien sûr, de temps en temps, ses « amis », potentats et Négro, les deux sont compatibles, se fatiguent des rackets incessants de leur « ami » journaliste BLANC, François SOUDAN. Ils se fâchent, car ils savent que tous les JOURNALISTES BLANCS ne rackettent pas, ne copinent pas avec des tyranneaux sanguinaires, africains ou pas. Mais François SOUDAN, si.
Et le tyranneau sanguinaire subsaharien qui ose fermer les vannes des sous, même temporairement, et hop les articles hostiles de Monsieur SOUDAN, soudainement les rappellent à l’ordre. Et dépourvus de la moindre assise populaire dans leur pays, ils ouvrent aussitôt les caisses, et Monsieur SOUDAN devient encore soudainement « gentil ». Petites questions, pour terminer provisoirement avec Monsieur SOUDAN.
1°. Quelqu’un peut-il me dire ici qu’une fois, une fois seulement, un grand journal français a sollicité les services journalistiques de Monsieur SOUDAN ?
2°. L’intérêt journalistique de Monsieur SOUDAN pour un pays subsaharien, dépend de la capacité de ce pays à lui ouvrir les portes des caisses publiques. Y a t-il parmi les subsahariens pour me démentir ?
3°. Pourquoi s’obstinent-ils, lui et son associé Ben Béchir, à appeler leur « marchandise » jeune Afrique ? N’est-il pas plus judicieux de la nommer « Jeune Maghreb » ?
Mamadoun Billo SY SAVANÉ.
A bientôt Monsieur François SOUDAN, devenu soudain » journaliste ».
