Tout changement de pouvoir actuel par le peuple ou une partie du peuple y compris l’armée, ne peut être qualifié de coup d’État, mais d’une action de rétablissement des institutions constitutionnelles et étatiques paralysées par le régime d’Alpha Condé.
Le fonctionnement actuel des institutions constitutionnelles et étatiques est illustratif de la volonté manifeste et inébranlable de nos gouvernants de saborder les acquis démocratiques résultant de 60 années de luttes et de sacrifices ultimes de bon nombre de filles et fils de notre pays. Ce fonctionnement informel donc, inconstitutionnel des institutions, à savoir, l’exécutif, le législatif et le judiciaire a atteint le point de rupture du contrat social qui lie le peuple de Guinée à ses gouvernants. Le refus de la tenue des élections aux dates légales, les fraudes électorales, les crimes de sang et crimes économiques auxquels se livrent les dirigeants guinéens, violent non seulement les lois guinéennes, mais aussi les engagements internationaux, régionaux et sous régionaux de la Guinée.
Violations des normes constitutionnelles guinéennes
L’impunité dont bénéficient nos gouvernants suite à leurs violations massives et récurrentes des de la constitution, leurs commissions de crimes de sang et de crimes économiques est illustrative de la faillite généralisée des institutions étatiques. C’est une telle faillite institutionnelle généralisée permettant aux gouvernants de se mettent au dessus de la loi, tout en soumettant le peuple à l’injustice, qui est qualifiée « d’oppression » dans le sens de l’article 21 alinéa 4 de la Constitution de 2010 (seule constitution légale et légitime) qui dispose que : « Il (le peuple) a le droit de résister à l’oppression ». C’est pour faire face à une telle faillite institutionnelle que la Constitution guinéenne, en son article 21 alinéa 4 a donner le droit au peuple, tout le peule, y compris l’armée, de résister à l’oppression des dirigeants. Cette résistance populaire à l’oppression se fait par tous les moyens à la convenance du peuple, y compris par les armes si nécessaire.
Si l’article 21 alinéa 4 de la Constitution fait de la résistance à l’oppression un droit, quant à l’article 22 alinéa 7, elle fait de la défense de la patrie, une obligation incombant à tout citoyen (y compris l’armée) en ces termes : « Chaque citoyen a le devoir sacré de défendre la patrie ».
Violations des normes au niveau de la CEDAO
Au niveau la CEDEAO, le Protocole A/SP1/12/01 sur la Démocratie et la Bonne Gouvernance additionnel au protocole relatif au mécanisme de prévention, de Gestion, de règlement des conflits, de maintien de la Paix et de la Sécurité, après avoir interdit en son article 1er tout changement anticonstitutionnel du pouvoir et tout mode non démocratique d’accession ou de maintien au pouvoir auxquels Alpha Condé s’est toujours livré, son article 19 a confié la mission de protection de la population et de la démocratie aux armées des États membres en ces termes : « L’armée est républicaine et au service de la Nation. Sa mission est de défendre l’indépendance, l’intégrité du territoire de l’État et ses institutions démocratiques.
Les forces de sécurité publique ont pour mission de veiller au respect de la loi, d’assurer le maintien de l’ordre, la protection des personnes et des biens ».
C’est pour toutes ces raisons que le peuple de Guinée dans sa totalité, donc, y compris son armée, a non seulement le droit de résister à la gouvernance illégale d’Alpha Condé, mais, il a aussi le devoir sacré de défendre la patrie face aux dangers imminents de dislocation de la Nation guinéenne. Cette action patriotique sera conforme non seulement à la constitution guinéenne, mais aussi aux normes de l’Union africaine et de la CEDEAO.
Le bilan inhumaine du regime nacro-etat criminel de Rpg 567 morts 670 blesses..Nous disons merci a l’armee guineenne..Nos revendications sont..L’arrestation des members du gouvernement les deputes les Gouverneurs de la BCRG les Gouverneurs des regions le directeur de la police le general Balde le general Namory Traore le general Mohamed Diane le general Mohamed 2 Bangoura et la premiere dame en fuite..Nous demandons la Justice contre l’ancien president Alpha conde ses crimes de sang et economics de 1970 a son arrestation aujourd’hui matin…
Dakaractu revient sur le parcours du président natif de Boké qui est, par ailleurs, le premier élu démocratiquement en Guinée depuis 1958.
Né à Boké (Basse-Guinée) en 1938, Alpha Condé a commencé ses études primaires dans une école au centre à Conakry, puis au collège des Pères à Dixinn dans une commune située dans la capitale guinéenne. À l’âge de 15 ans, il part en France, après l’obtention du brevet. C’est ainsi qu’Alpha Condé, poursuit ses études en tant qu’élève en classe de seconde au lycée Pierre-de-Fermat de Toulouse et à Louviers, dans une commune française en Normandie.
19 ans après l’indépendance, Alpha Condé crée le Mouvement national démocratique (MND) avec le professeur Alfa Ibrahima Sow, Bayo Khalifa et d’autres membres fondateurs. Ce mouvement subira plusieurs mutations avant de devenir le Rassemblement du peuple de Guinée (RPG).
QUESTIONS D’INTERET PUBLIC
Quelqu’un pourrait-il aider à corriger et compléter ce sommaire ambigu du bio et parcours éducatif du professeur Alpha Condé, en particulier de ce que sont:
L’unicité du lieu de naissance (Boké ou ailleurs) ?
Le brevet à 15 ans (primaire:6+ collège:4 =10) entrée à 5ans était précoce pour l’époque ?
Authenticité des études en classe de seconde au lycée Pierre-de-Fermat de Toulouse ?
Classe de première ?
Classe terminale?
Classes préparatoires aux grandes écoles, s’il y en avait eu ?
Université, là ou lesquelles ?
Professeur, agrégé, quelle année (s)?
Quel est l’étudiant, soit-il unique, qui est connu de lui ?
Les réponses à ces questions ne sont pas l’objet d’une curiosité, c’est un impératif pour l’Histoire de la Guinée, n’est-ce pas ?
Le bilan inhumaine du regime nacro-etat criminel de Rpg 567 morts 670 blesses..Nous disons merci a l’armee guineenne..Nos revendications sont..L’arrestation des members du gouvernement les deputes les Gouverneurs de la BCRG les Gouverneurs des regions le directeur de la police le general Balde le general Namory Traore le general Mohamed Diane le general Mohamed 2 Bangoura et la premiere dame en fuite..Nous demandons la Justice contre l’ancien president Alpha conde ses crimes de sang et economics de 1970 a son arrestation aujourd’hui matin…
Dieu merci la fin d’un regime criminel..Vive le peuple victime de guinee. A BAS L »ETHNO PREDATEUR CRIMINEL ALPHA CONDE..
SITE: Dakaractu.COM
Dakaractu revient sur le parcours du président natif de Boké qui est, par ailleurs, le premier élu démocratiquement en Guinée depuis 1958.
Né à Boké (Basse-Guinée) en 1938, Alpha Condé a commencé ses études primaires dans une école au centre à Conakry, puis au collège des Pères à Dixinn dans une commune située dans la capitale guinéenne. À l’âge de 15 ans, il part en France, après l’obtention du brevet. C’est ainsi qu’Alpha Condé, poursuit ses études en tant qu’élève en classe de seconde au lycée Pierre-de-Fermat de Toulouse et à Louviers, dans une commune française en Normandie.
19 ans après l’indépendance, Alpha Condé crée le Mouvement national démocratique (MND) avec le professeur Alfa Ibrahima Sow, Bayo Khalifa et d’autres membres fondateurs. Ce mouvement subira plusieurs mutations avant de devenir le Rassemblement du peuple de Guinée (RPG).
QUESTIONS D’INTERET PUBLIC
Quelqu’un pourrait-il aider à corriger et compléter ce sommaire ambigu du bio et parcours éducatif du professeur Alpha Condé, en particulier de ce que sont:
L’unicité du lieu de naissance (Boké ou ailleurs) ?
Le brevet à 15 ans (primaire:6+ collège:4 =10) entrée à 5ans était précoce pour l’époque ?
Authenticité des études en classe de seconde au lycée Pierre-de-Fermat de Toulouse ?
Classe de première ?
Classe terminale?
Classes préparatoires aux grandes écoles, s’il y en avait eu ?
Université, là ou lesquelles ?
Professeur, agrégé, quelle année (s)?
Quel est l’étudiant, soit-il unique, qui est connu de lui ?
Les réponses à ces questions ne sont pas l’objet d’une curiosité, c’est un impératif pour l’Histoire de la Guinée, n’est-ce pas ?